Pot-pourri
42% des viols commis en Italie sont commis par des... étrangers. L'information n'est pas au conditionnel. Elle émane du ministère de l'Intérieur italien. Je ne lis pas cette info dans Le Monde, ni dans Libération. Et ce n'est pas en écoutant Léa Salamé et Nicolas Demorand sur France Inter. « Legata, sequestrata e stuprata : così lo straniero abusa di una 17enne. C'est dans Il Giornale.
Les agressions perpétrés par des étrangers en Italie se multiplient. Selon les données du ministère de l'Intérieur, 42 femmes sur 100 ont été violées par des immigrés. Les formes de violence les plus graves sont le fait de partenaires, de parents ou d'amis. Les viols ont été commis dans 62,7% des cas par des partenaires, dans 3,6% par des proches et dans 9,4% par des amis. La violence physique (comme les gifles, les coups de pied, les coups de poing et les morsures) est également en grande partie le travail de partenaires ou d'ex. Les étrangers sont principalement les auteurs de harcèlement sexuel (76,8 % de toutes les violences commises par des étrangers).
Pour les femmes étrangères, le risque de violences physiques ou sexuelles au cours de la vie est similaire à celui des Italiennes (31,3 % contre 31,5 %). Cependant, les violences physiques sont plus fréquentes chez les premières (25,7% contre 19,6% pour les Italiennes), tandis que les violences sexuelles sont plus fréquentes chez les secondes (16,2% d'étrangers contre 21,5% d'Italiens). Les formes les plus graves, comme les viols et tentatives de viol, sont au contraire plus fréquentes chez les étrangers (7,7 % et 5,1 %). Cela signifie que les Italiens souffrent principalement de violences sexuelles moins graves, telles que le harcèlement, en particulier de la part d'étrangers.
Près de la moitié des viols en Italie sont commis par des immigrés
Cette semaine à Naples un étranger de 30 ans a forcé une jeune fille de 17 ans à monter dans sa voiture avant de la conduire dans une zone isolée, lui attacher les poignets et la violer. En mars, une jeune fille de 15 ans a été violée par cinq membres d'un gang de migrants (sic) albanais et marocains. L'année dernière, à Rome, un autre fait divers a particulièrement secoué le pays. Une jeune fille de 16 ans s'est vue administrer une surdose de drogue avant d'être violée par plusieurs Africains. La jeune fille est morte d'une overdose et le procès des criminels présumés a débuté cette semaine.
Mais les attaques violentes de migrants (sic) sont également devenues plus courantes en Italie. Plus largement, le rapport du ministère estime que près d'un crime sur trois est commis par des migrants (sic) en Italie, alors qu'ils ne représentent que 8% de la population. Cette semaine à Tarente, un homme de 27 ans a par exemple été violemment battu par un groupe de migrants (sic) et a perdu toutes ses dents.
Accompagnée de son père, elle est venue déclarer aux carabiniers de Grumo Nevano, dans la région napolitaine, qu'un « citadin non européen de 30 ans, l'avait forcée, avec d'autres personnes, à monter dans sa voiture » et, après l'avoir emmenée dans un endroit isolé, l'avait attachée aux poignets et l'avait agressée sexuellement. La jeune fille a également signalé que le suspect la persécutait depuis un certain temps, malgré des refus constants et des menaces de le dénoncer à la police. Des images de vidéosurveillance ont permis d'étayer les déclarations de la jeune fille mais le suspect identifié est resté introuvable pendant plusieurs semaines [l'agression remonte au mois d'octobre]. Jusqu'à ce que des carabiniers du commissariat de Giugliano en Campanie-Villaricca le trouvent, l'arrêtent et l'enferment en préventive.
Giugliano in Campania... une ancienne ville de l'empire romain à quinze kilomètres au nord-est de Naples, cent-vingt-deux mille habitants, où l'on trouve un centro di accoglienza di cittadini stranieri, un centre d'accueil pour citadins étrangers... qui est en fait un hôtel que la population locale surnomme « Le Château ». Dans un autre article de Il Giornale, on découvre que l'albergo è stato adibito a centro di prima accoglienza per gli immigrati che vengono "smistati" nella zona di Varcaturo (l'hôtel a été utilisé comme premier centre d'accueil pour les immigrés "triés" dans la région de Varcaturo). C'est donc un centre qui loge des émigrés en demande d'asile... par exemple arrivés à... Lampedusa... Dans ce centre, en février 2017, un Nigérian de vingt-cinq ans y a séquestrée et violée une bénévole de soixante-deux ans.
Source : Il Giornale ; Breiz-info ; Valeurs actuelles ; Il Giornale ;
Photo : l'église de l'Annonciation (dell'Annunziata) à Giugliano en Campanie ; émigrés africains arrivant en Italie (Carmelo Imbesi/AP/SIPA).
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